Ce qu'ils en disent...
FRANCE BLEU (Julien Wzorek) "C'est sublime. C'est un régal pour les oreilles." FRANCOFANS (Alexandre Cousin) "... on reste en admiration devant la qualité des textes. On ne pourra que sourire à l'écoute de "Débile physique" où l'autodérision de l'auteur est un véritable délice. [...] Un album tendre et grinçant d'un poète avisé." PRESTO (Sylvain Marcelli) (Disque régional du mois de novembre 2002): "Entre ironie et amertume, humour et mélancolie, voici le deuxième album d'ALMOYNA, "Sans compter". Témoin amusé des travers de la société, ALMOYNA ricane doucement de "La Sainte Hypocrisie" du catéchisme religieux et se moque du "Coup du grand jour qui viendra" du catéchisme révolutionnaire... Aigre-doux, il épingle la bonne conscience de "Monsieur tout l'monde" qui soudain soucieux d'écologie, "balaie avec entrain devant la porte du voisin". Sans dire un mot plus haut que l'autre, ALMOYNA frappe alors très fort. [...] L'ensemble de l'album, où se cotoient avec bonheur guitare et cornemuse, vielle à roue et ukulele, s'écoute sans compter." NORD ECLAIR (Caroline Vanbelle) : "Almoyna est un athlète de la dérision... [...] Il chante son enfance, "la source", se moque de l'obsession des gros biscottos, de la manie de tout compter; de la "sainte hypocrisie" et de notre fausse bonne conscience écolo. Bref, Almoyna, chanteur-citoyen, jette un regard aiguisé sur le monde et dessine un univers bien à lui, aux musiques voyageuses... [...] Chaque titre de ce deuxième album, "Sans compter" affiche des couleurs changeantes. Tout comme le premier sorti en 1998. Onze plages nous embarquent dans un ailleurs pluriel. Un ukulele latino, un accordéon diatonique, une vielle à roue et une cornemuse pour l'ambiance celte; une trompette, guitare, contrebasse et percussions aux accents Jazzy... Il peut bien se permettre ces embardées musicales : son univers est assez riche, sa voix de troubadour ironique assez identifiable pour qu'on s'y promène sans jamais y perdre le fil. Sous la légèreté et l'humour, la révolte pointe. Chanteur-citoyen du monde, il lance ses piques mine de rien, sans en avoir l'air; Et touche ses cibles." LIBERTE HEBDO (Laurence Mauriaucourt) : "Un album de troubadour, de citoyen-chanteur critique, qui tente encore de "vivre sans compter", un peu anar, un rien épicurien, qui exige une écoute attentive." RADIO BOOMERANG (rubrique "On aime" sur www.radioboomerang.com) : "L'humour corrosif et néanmoins nonchalant d'Almoyna s'entoure dans son nouvel album d'un son cuivré bienvenu." LE NORD (Arnaud Raes) : "Almoyna oscille sur ce deuxième album entre nostalgie et préoccupations contemporaines. Il fouille les souvenirs d'enfance ou brosse avec ironie le tableau des petites mesquineries et hypocrisies de notre époque. [...] Concentré de tendre chanson française, Almoyna flâne loin des modes et tellement plus près des coeurs..." CHANT' ESSONNE (Romuald Levesque) (Coup de coeur du N°109): "... Almoyna se balade dans nos quotidiens et nos espoirs déçus qui sont aussi les siens. Il sait passer d'une veine ironique et drôle à des textes beaucoup plus graves [...] Avec des intonations rappelant le Thiéfaine des débuts et Lény Escudero, l'univers de ce dernier semblant lui être plus proche, ses chansons sont des raisins dont les musiques seraient les grappes et les vers ses grains. Quand au cépage,pour le connaître, ne tient qu'à vous de participer aux vendanges et de consommer sans compter!" LA VOIX DU NORD (Jean-Marie Guichard) : "Bon observateur des travers humains, Almoyna maîtrise bien, dans ses textes, l'art de souligner les comportements inconséquents." L'ECHO DU PAS DE CALAIS (Christian Defrance) : "Tous les maigres de France et de Navarre écouteront forcément d'une oreille bienveillante l'album d'Almoyna. "Sans compter" est le deuxième opus de cet artiste nordiste qui savoure l'autodérision, déguste les souvenirs d'enfance, se délecte d'une vie où l'on ne compterait plus... Coté musique, le maigrichon a choisi un menu éclectique où guitares, vielle à roue et cornemuse se mangent sans faim." CHANSONS PLAISIR (Béatrice Dingeon) : "Un deuxième opus qui se situe entre tendre ironie et mélancolie. Témoin jamais désabusé, Almoyna souligne avec justesse et sans aucune méchanceté certains travers de notre société..." LA FEUILLE (Alain Stievenard) : "Une voix et une fausse nonchalance qui masquent la nostalgie de l'enfance et des préoccupations actuelles sur l'écologie, la religion, le comportement égoïste des hommes. Un zeste d'ironie, un soupçon d'anarchie, une pointe d'acide enrobée dans la douceur des mélodies et dans des arrangements acoustiques faisant appel aux guitares, à la vielle à roue, à la cornemuse, au violon, au violoncelle ou au ukulele. [...] Un air de liberté sur la chanson." CHORUS (Daniel Pantchenko) : "Si vous aimez avant tout la chanson dite à texte, ce disque devrait vous convenir. [...] Aux accents satiriques on préfèrera les souvenirs contrastés de l'enfance et cette poignante chanson, surtout, sur la petite "Olga" de Tchernobyl." NORD ECLAIR (Cécile Rognon) : "Avec "Jeux de billes, jeux de guerre", ALMOYNA [...] témoigne d'une belle vitalité de la chanson à texte. Les humeurs sont inscrites dans les mots, le piquant dans les refrains, tendresses, révoltes et polémiques pour couplets. [...] Ce premier album décline, dans des ambiances complémentaires, plus de dix années de connivence avec l'écriture. Il donne envie, surtout, d'aller voir cet artiste -aussi discret qu'engagé- là où il se sent le mieux : sur scène." FEMINA HEBDO (Laurence MOUTON) : "... Loin des tendances et des exigences commerciales de ses contemporains, ALMOYNA fait de la chanson française. De la pure. A 32 ans, le jeune homme, traditionnel dans ses goûts musicaux, puisqu'il a quand même été bercé dans son enfance par Brassens, Brel et Paco Ibanez, fait souffler un petit vent nouveau. Une bouffée toute simple parfumée de régionalisme." LA FEUILLE DE CH'ROCK "Elles sont rares les sorties d'albums de chanson française dans la région. Alors quand c'est le cas, on n'hésite pas, on saute dessus. Car même si ce style musical revient en force actuellement, les artistes qui renouvellent vraiment la chanson restent peu nombreux. Ce mini-album fait surement partie des CDs de chanson française à découvrir. Il ne révolutionne pas la chanson bien sûr mais il apporte une pierre à l'édifice. Car entre nouvelle et ancienne chanson française, ALMOYNA nous propose des morceaux calmes teintés d'accordéon, de guitare acoustique et de basse, avec quelques interventions de boite à rythme; mais aussi une musique qui met en avant les atmosphères, les sentiments avec une pointe d'humour et de critique qui équilibre le tout ! ALMOYNA fait un mélange savant entre Brel, Casse-Pipe et Dick Annegarn, tout en gardant un ton particulier qui lui est propre, une sorte de désinvolture, de chant décalé, qui donnent à ces textes un côté mélancolique." LA VOIX DU NORD (Catherine Painset) : "Sujets de société, petits travers humains, plongées dans les souvenirs... Tout est traité avec esprit." PRESTO (Alias) : "ALMOYNA chante tout le temps tout partout, prenant la relève de ces garde-fous qui depuis des siècles attirent notre attention sur les dangers que les artistes voient toujours avant les autres. [...] Les avertissements sont lucides et précis, dans des chansons étonnamment courtes où il n'y a jamais un mot de trop, où l'on ne cède jamais à la faiblesse de rallonger la sauce." DELIRIUM (Narcisse Adja) : "...La musique, acoustique à souhait malgré une base rythmique très présente n'atténue pas la portée des mots. [...] Un mini album que vous serez fier d'avoir dans votre discothèque, dépéchez-vous avant qu'un visa ne vous soit exigé pour l'écouter." |